Tout en restant à son domicile, M. DeGroot se balade le long de la rivière, près de sa maison à Saskatoon, pour photographier la faune avec son appareil photo. C’est là qu’il a rencontré pour la premiere fois les oies. Toutes les nuits, je me promenais le long de la rivière à la recherche de castors. Bien sûr, il y avait aussi beaucoup d’oies qui venaient du sud pour chercher des nids. C’était très intéressant de voir les oies se battre pour et défendre leurs nids.
En mai, Diggat a remarqué que les premiers poussins étaient en train d’éclore. Ils sont très mignons quand ils sont petits. Comme des petites balles de tennis et des petits pieds, dit Diggat.” Alors, en attendant les castors, il a commencé à prendre des photos des poussins. Une nuit, Diggatt a trouvé une femelle castor et un nombre inhabituellement élevé de petits assis dans les roseaux près de la rivière. Il a compté 16 petits.
Toutes les nuits, nous sommes allés à la recherche de cette mère et de ses poussins, et à notre grande surprise, Digat a dit que cette mère avait 16 ans. On dirait que chaque jour il y en a plus.
Un jour nous avons trouvé une poule avec 47 poussins et son partenaire, un jour nous avons compté 25 poussins, puis 30. Digat a découvert que cette magnifique poule élevait des poussins pour plusieurs autres familles.
Les volées sont fréquentes dans les villes et les zones périurbaines où de nombreux oiseaux nichent.
Digut a vite identifié cette femelle comme la meilleure candidate. Avec autant d’oies autour, c’est étonnant de voir à quel point elle est calme. Elle a dit. Elle semble être une mère patiente.
Les petits poussins grandissent et croissent et elle ne peut plus les garder tous sous sa mère. Ils dorment maintenant dans un grand tas et elle s’occupe d’eux.
Le troupeau est maintenant divisé en trois grands groupes familiaux, mais cette super maman et son partenaire ont encore 25 poussins. Ils les protègeront jusqu’à ce qu’il soit temps de repartir vers le sud.