Depuis des décennies, l’industrie cinématographique et les médias considèrent Pamela Anderson comme une femme écervelée. La série Alerte à Malibu, diffusée dans les années 90, a fait de Pamela une superstar, lui offrant une armée d’admirateurs.
La jeune femme est devenue un symbole sexuel de son époque, mais cela l’a également enfermée dans un seul rôle. Et bien qu’Anderson ait publié deux livres qui sont devenus des best-sellers selon le New York Times, puisse citer Proust et Walt Whitman, l’image de la “blonde” est restée ancrée en elle pour toujours.
Depuis son enfance, sa mère lui disait qu’il n’y avait rien de tel que la beauté naturelle. Elle expliquait que pour créer l’illusion d’attirance, il fallait passer au moins une heure devant le miroir, et si se coiffer, se poudrer et se maquiller suffisait, alors la beauté était une force. Anderson se souvient que sa mère ne faisait que commenter ses apparitions à la télévision en parlant de ses cheveux ou de son maquillage.
Aujourd’hui âgée de 55 ans, Anderson brise lentement le mythe selon lequel elle serait simplement une blonde en maillot de bain rouge avec un passé de mariages ratés. Elle ne joue plus la “poupée Barbie”, ayant abandonné les faux cheveux, l’eye-liner et les robes moulantes au profit de pulls amples suffisamment pratiques pour le travail au jardin.
Pamela refuse le recours à Photoshop et l’aide de stylistes. Récemment photographiée dans une jupe de lin informe, un pull blanc et des sandales beiges assorties à la couleur de son sac, peut-être que ce look lui correspond, mais les fans estiment qu’il est trop tôt pour adopter l’apparence d’une grand-mère.
“Avant toutes les chirurgies, elle était attirante, mais maintenant c’est juste désagréable de la regarder”, “Elle était autrefois, mais maintenant… elle vieillit à une vitesse!”, a écrit un abonné.
