Acceptez qu’autrefois, ce futur monument du cinéma hollywoodien, également auteur et militant engagé, ait connu des temps difficiles avant de toucher les sommets. Né en 1961 en Alberta (Canada), il prit goût au métier d’acteur dès ses années d’école, décrochant ses premiers rôles dans des séries canadiennes comme Leo & Me.
À 17 ans, animé par un rêve inébranlable, il s’installa à Los Angeles pour tenter sa chance, mais dû faire face aux refus et à la précarité : à 18 ans, il n’hésitait pas à fouiller les poubelles à la recherche de quelque chose à manger. Pourtant, il garda la foi.
Le véritable tournant arriva lorsqu’on le choisit pour incarner Alex P. Keaton dans Family Ties. Dès lors, son nom s’imposa et il quitta la galère pour la gloire.
Pourtant, à 29 ans, alors au faîte de sa popularité, le diagnostic tomba : Parkinson. Refusant de laisser la maladie définir sa vie, il garda son combat secret tout en continuant à travailler, à fonder une famille et à œuvrer pour la recherche.
Par le biais de sa fondation, la Michael J. Fox Foundation, il a déjà mobilisé plus de 1,75 milliard de dollars au service de la lutte contre Parkinson. Ses efforts lui valurent notamment le prestigieux Jean Hersholt Humanitarian Award en hommage à son militantisme.
Malgré les défis quotidiens, il demeure optimiste et reconnaissant, résolu à découvrir un remède.
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De ses débuts modestes à sa renommée planétaire, son parcours est un formidable exemple de victoire sur l’adversité et une source d’inspiration pour tous ceux qui mènent leurs propres combats.
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