Malheureusement, de nos jours, les gens semblent oublier la nature. Tout ce qui les intéresse, c’est l’argent et, à cause de cette avidité, le monde finit par détruire l’endroit que nous appelons tous notre maison : la planète Terre.
Nous sommes tous conscients des effets du changement climatique, nous sommes tous témoins de l’extinction massive des espèces sauvages et nous ne faisons rien. Heureusement, il y a encore de l’espoir, car il existe encore des personnes qui aiment tellement les animaux sauvages qu’elles feraient tout pour les protéger. Et ce jeune homme est l’exemple parfait de ce que signifie une véritable prise de conscience et un engagement.
Dean Schneider est un amoureux des animaux de 26 ans, originaire de Zurich, en Suisse. Depuis son plus jeune âge, Dean a appris à aimer et à respecter la faune sauvage. Et il y a deux ans, pour la recherche de sa passion et de la nature, le jeune homme a pris la plus grande décision de sa vie. Il a décidé d’abandonner son emploi prestigieux, il a tout vendu et est parti en Afrique du Sud, pour sauver les animaux sauvages.
C’est là que Dean a lancé le projet dont il rêvait – Hakuna Mipaka. Un lieu où l’on s’occupe des animaux sauvages sauvés. Un paradis sur terre pour les lions, les zèbres, les hyènes et même les babouins qui étaient contraints de vivre dans des conditions misérables. Le nom de l’endroit signifie “sans limites” en dialecte swahili, tout comme les projets de Dean : sans limites !
“Ma mission est d’atteindre autant de personnes que possible et de les éduquer sur la vie sauvage et la beauté du règne animal. Je crois au pouvoir de la connaissance, de la passion et des histoires visuelles pour changer la perception des gens et sauver la vie sauvage en diffusant des messages sur le respect et l’amour des animaux ainsi que sur leur valeur essentielle pour notre planète”, explique Dean à propos de la mission de son organisation.
Cet homme au grand cœur a passé toute sa vie jusqu’à présent à protéger la vie sauvage, car, comme il le dit : “on ne protège que ce que l’on aime !”
