La femme n’a pas l’intention de changer de coiffure.
Asha Mandela considère que ses cheveux sont une source de force. C’est pourquoi elle le cultive et le tisse depuis des années. Aujourd’hui, l’Américaine de 56 ans adore ses dreadlocks, qui mesurent 16 mètres de long et pèsent 19 kilogrammes.
Asha appelle ses cheveux ses “antennes”, grâce auxquelles elle dit recevoir des ondes positives du monde qui l’entoure. Elle est rastafarienne et pense que sa coiffure l’aide à rester en bonne santé.
Cette américaine fait pousser des dreadlocks aussi longues qu’une maison de cinq étages : un spectacle inoubliable.
“Il fait partie de ma création et de mon corps”, dit Asha.
En même temps, cette coiffure la met mal à l’aise à bien des égards. Elle consacre deux jours par semaine au toilettage de ses dreadlocks et doit les transporter dans un sac. Les cheveux lourds peuvent causer toutes sortes de problèmes et même entraîner une paralysie. C’est pourquoi Asha se rend régulièrement à la salle de sport pour travailler son dos.
Cependant, les problèmes des femmes américaines sont sans fin. Elle pense que les dreadlocks ont plus d’avantages que d’inconvénients, et son mari, Emmanuel, la soutient pleinement.
